Jordan Spieth

Quand on demande à Michael Greller, le caddie de Jordan Spieth, ce qui fait de son patron un si bon putteur, il répond que cela a sans doute quelque chose à voir avec le fait qu’il passe jusqu’à dix heures par jour sur le putting-green. Cette révélation peut peut-être expliquer l’imprécision dont fait parfois preuve Spieth sur son jeu long, mais elle élucide incontestablement le mystère de ses étranges capacités avec le club plat. Sur le papier, les statistiques au putting du nouveau champion de l’Open semblent juste bonnes – sur le PGA Tour,
il est 37ème de la catégorie “Coups Gagnés” et sa moyenne de 28 putts par tour lui a permis de se hisser à la 16ème place de la statistique à Birkdale. Mais là où Spieth excelle, c’est dans sa capacité à rentrer les putts importants, ce qu’il a prouvé en jouant ces cinq derniers trous cinq coups sous le par à Birkdale. À près de 36%, son taux de birdies convertis est phénoménal. Pour bien putter quand on est sous pression, il faut une technique fiable. Adoptez ces quatre caractéristiques et améliorez vos propres résultats en situation de stress…

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