Le secret du downswing

Il n’y a pas de swing parfait. Tous les jours, nous en avons la preuve éclatante. Il suffit de comparer le geste fluide et élastique de Dustin Johnson à celui de John Rahm, qui est plus compact et plus vif; ou l’incroyable boucle de Matthew Wolff, toute en puissance, au geste orthodoxe et compact de Tiger Woods. Tous les jours, l’élite du golf nous prouve que la voie de l’excellence, ce n’est pas de courir après un modèle de swing mythique mais de développer le sien propre. Et pourtant, si l’on gratte la surface, un motif intrigant apparaît.
Quelque singulier que soit le swing d’un grand joueur, il redevient inévitablement académique un instant avant l’impact. Certains parlent de fente, d’autres de position de frappe. À ce moment du swing, qui se situe à mi-downswing, les bras se mettent en position et les angles se forment alors que le golfeur se prépare à relâcher le club avec force et précision. C’est le seul moment du swing où il y a correspondance parfaite entre les gestes des très bons joueurs. Ici, en analysant qui se passe au niveau du corps, des bras et du club, nous allons découvrir les dénominateurs communs… et vous apprendre à les exploiter…

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