Redressons les choses !

Quoi qu’en disent les pages et les pages qui ont pu être écrites sur le slice, il n’y a en fait rien de compliqué là-dedans.

Si l’on retire le point de frappe de l’équation – oui, une frappe au niveau du talon peut faire partir la balle en slice – il n’y a que deux choses qui doivent nous préoccuper : l’orientation de la face du club et le chemin de swing.
Plus on est proche de l’idéal à l’impact (c’est-à-dire d’un chemin de swing neutre et d’une face perpendiculaire à ce chemin), moins on imprime d’effet slicé à la balle. Plus on s’en éloigne (une face ouverte par rapport à un chemin ouvert), plus on donne d’effet slicé à la balle.

C’est la raison pour laquelle cet article est également très simple.

Avant d’aborder les solutions permettant de neutraliser facilement le chemin de swing, nous nous pencherons d’abord sur les trois motifs qui conduisent généralement les golfeurs à laisser la face ouverte.
Nous verrons ensuite, grâce aux statistiques dont nous disposons aujourd’hui, ce que vous coûtent réellement le slice en matière de distance et de coups perdus ainsi que l’influence de votre mental sur votre slice.

Comme nous le verrons, il faut impérativement faire les choses dans cet ordre. En matière de trajectoire et de spin de la balle, la face est reine : commencez par travailler à avoir une face square, puis réglez le problème du chemin de swing. Sinon vous finirez, comme votre balle de golf, par tourner en rond.
Toutefois, tant que votre objectif final sera de coordonner l’orientation de la face et le chemin de swing, vous avancerez littéralement dans la bonne direction.

Bonne chance !

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