En 2015, Jason Day jouait au golf à un niveau stratosphérique. En février de cette année-là, il remporta le Farmers Insurance Open, puis réussit une remarquable série entre juillet et septembre en s’imposant à l’Open du Canada, à l’US PGA et dans deux tournois des play-offs de la FedEx Cup. Sa victoire au BMW Championship, l’avant-dernière épreuve de la saison, le propulsa également à la première place du classement mondial pour la première fois de sa carrière. Il reprit sa marche victorieuse en 2016, en remportant le Arnold Palmer Invitational, le WGC Match Play et le Players, une série de victoires que son compatriote Adam Scott qualifia de « tigeresque ».
Malheureusement pour Day, les années suivantes furent marquées par les blessures et les problèmes personnels, malgré deux victoires au cours de la saison 2018. Ses problèmes de dos chroniques et la maladie de sa mère, qui est malheureusement décédée prématurément en début d’année, sont à l’origine de sa chute au classement mondial. Mais il est plein d’optimisme désormais, un état d’esprit qu’il doit à d’innombrables heures de rééducation physique et au fait qu’il peut à nouveau consacrer beaucoup de temps à son golf. Reste à savoir s’il retrouvera son prodigieux niveau de 2015-2016, mais il va bien évidemment tout faire pour…

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